Ça avance vite ! Enfin pour le moment … On sait par avance qu’une fois la maison hors d’air le temps va paraître long 🙁
Mais pour le moment ça fait plaisir à voir : la maison progresse rapidement ! On commence à apercevoir ce que ça donnera sur le terrain. Certains points que l’on avait imaginés sont à revoir désormais. Des problématiques que nous n’avons pas pu voir avant nous sautent aux yeux à présent. Et c’est certainement que le début malheureusement !
Un exemple concret : pour éviter que la maison soit perchée sur son vide-sanitaire, nous devons remblayer le terrain. Rien de difficile au premier abord, mais les arbres vont gêner pour la réalisation des pentes douces. En effet, les troncs (en particulier ceux des arbres greffés) ne doivent pas être couverts de terre. Ce détail, impose donc de bloquer la terre en amont pour éviter leur mort.
Nous ne pouvons, bien-entendu, pas remblayer tout le terrain sur 60 cm de hauteur. Il faudra donc prévoir de petites pentes douces, ou bien de petites restanques (terrasses). Nous allons donc demander conseil à Maisons Vertes du Var. Nous comptons sur eux; jusqu’à présent ils ont trouvé des solutions techniques à tous nos problèmes. Et ce service est très apprécié de notre part !
Mais pour le moment, place au récap’
Lundi 11 Juillet 2016
Mise en place des poutrelles et hourdis polystyrène. Ceux-ci ont la particularité de recouvrir totalement le dessous des poutrelles afin d’éviter les ponts thermiques (passage de la température par conduction dans l’habitation). Il nous semble que c’est une obligation de la RT2012 (vous pouvez voir ça sur la deuxième photo ci-dessous).
Sinon pour les néophytes, c’est bien ce polystyrène qui va contenir le béton avant sa solidification. Les poutrelles, quant à elles, assurent une résistance complète de l’ouvrage.
Mardi 12 Juillet 2016
Le treillis soudé est posé et relié aux poutrelles. Il ne reste plus qu’à attendre le béton!
Mercredi 13 Juillet 2016
Rebelote, la pompe à béton est déployée. Et cette fois-ci seulement 2 toupies suffisent pour couler la dalle.
Le reste de béton contenu dans la toupie ne peut pas repartir dans le camion sinon il risque de sécher à l’intérieur. Les ouvriers ont donc du la vider à l’emplacement de la future terrasse.